ÉCRANS DE FUMÉE
Exposition réalisée avec Valentin Russo
Galerie Maison Volver, Arles, avril 2022 Un écran de fumée désigne, dans le domaine militaire, une tactique utilisée afin de masquer la position exacte d’unités à l’ennemi, par l’émission d’une fumée dense. C’est aussi une ruse qui consiste à masquer ses intentions réelles en effectuant ou promettant de faire autre chose. Dans Écrans de fumée Margot Millet et Valentin Russo confrontent leur travail autour des différents espaces et mode de représentation, images vitrines et décors de notre environnement. Tous deux produisent, récupèrent et jouent avec des images afin d’interroger leur flux, leur circulation, leur manipulation ainsi que leur accumulation. Margot et Valentin usent du subterfuge que propose l’image, en particulier la photographie, afin de questionner ce rapport à l’illusion, à la consommation et la commercialisation des images. Leur esthétique idyllique, presque artificielle renvoie à un voyage impossible, à des paysages inhabitables, promesses de l’image, dont le résultat n’est qu’une mise en scène du monde.
Avec la participation de Cassandre Colas (commissariat) et Elorah Connil.
Galerie Maison Volver, Arles, avril 2022 Un écran de fumée désigne, dans le domaine militaire, une tactique utilisée afin de masquer la position exacte d’unités à l’ennemi, par l’émission d’une fumée dense. C’est aussi une ruse qui consiste à masquer ses intentions réelles en effectuant ou promettant de faire autre chose. Dans Écrans de fumée Margot Millet et Valentin Russo confrontent leur travail autour des différents espaces et mode de représentation, images vitrines et décors de notre environnement. Tous deux produisent, récupèrent et jouent avec des images afin d’interroger leur flux, leur circulation, leur manipulation ainsi que leur accumulation. Margot et Valentin usent du subterfuge que propose l’image, en particulier la photographie, afin de questionner ce rapport à l’illusion, à la consommation et la commercialisation des images. Leur esthétique idyllique, presque artificielle renvoie à un voyage impossible, à des paysages inhabitables, promesses de l’image, dont le résultat n’est qu’une mise en scène du monde.
Avec la participation de Cassandre Colas (commissariat) et Elorah Connil.
